Les Jumeaux Croisés 03

BÊTA PUBLIQUE

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« Ou plus? » demanda Loïc soudain en alerte « Tu ne veux quand même pas organiser des partouzes alors que je n'ai pas encore pu prendre la virginité de ma sœur? »

« Pourquoi pas » le reprit Léa « Plus tu auras d'expérience, meilleur ce sera pour moi la première fois! Et puis on mettra les choses au point : tu es à moi ; je te prête à d'autres mais tu dois me revenir. Lulu, tu as quelqu'un en tête?»

« Mon amie Françoise. Une très grande amie... On a partagé des moments très très intimes si vous voyez ce que je veux dire. Elle est passée cette après-midi chez moi et elle a vu dans quel état vous m'aviez mis. Elle bavait de jalousie et je lui ai promis que je vous parlerais d'elle . Bon, elle est bien un peu plus,... beaucoup plus, grassouillette que moi mais c'est une vraie bombe sexuelle. Aussi bien avec les garçons qu'avec les filles d'ailleurs ... »

La main de Léa était partie en exploration sous-marine et avait fini par trouver la bite de son frère en pleine ascension

« Hum, je crois que Lolo est plus intéressé par ta proposition qu'il ne veut bien le dire!»

« C'est à cause de tes seins qui flottent comme des bouées, pas parce que tu veux que je serve de sex toy! »

« Menteur »

« Sœur maquerelle »

Ils se sourirent et se relaxèrent à nouveau ; le jacuzzi bien chaud avait des vertus apaisantes sur les sens enflammés. Au bout d'une demi-heure, Lucie s'excusa et sortit du bain pour se sécher et gagner les toilettes. Léa et Loïc se taquinèrent encore un peu en jouant à s'éclabousser puis prirent eux aussi le chemin de la sortie. Le frère remit son sempiternel bermuda tandis que la sœur rejoignait Lucie dans la chambre et essayait en pouffant le bustier deux fois trop petit pour son imposante poitrine. Lucie s'empara du chemiser de Léa qui ; vu leur différence de taille, lui descendait jusqu'au bas des fesses et ne mit pas de slip.

« Je veux être disponible tout de suite » expliqua-t'elle , mutine, à sa jeune compagne

Cette dernière décida d'imiter son ainée et trouva une chemise de son père qui la couvrait à l'identique et elles rejoignirent Loïc au salon.

Léa prépara un petit en-cas tandis que Loïc pillait le bar pour concocter des daiquiris. Ils trinquèrent joyeusement et continuèrent à évoquer les projets d'avenir pour leur trio.

« Normalement, la pilule devrait être pleinement efficace le week-end prochain » calcula Lucie. « Est-ce que cela vous dirait de venir chez moi pour le Grand Sacrifice de la Vierge? Je ne suis pas aussi bien installée que vous mais mon lit est aussi grand et nous ne serons pas dérangés »

« Les parents vont trouver curieux que je passe le week-end avec ma sœur et sa gyneco » objecta Loïc. « Je vais plutôt leur dire que je vais camper avec mon copain Dany dans un bois hors de portée GSM »

« Ce serait une bonne idée d'inviter Françoise le vendredi soir » réfléchit Lucie à voix haute. « Lolo pourrait faire un premier tour de manège avec elle pour évacuer la pression et il sera ensuite beaucoup plus à même de se concentrer sur ton plaisir ma chérie » ajouta-t'elle à l'intention de Léa.

« Bonne idée ma douce » dit Léa en se penchant pour embrasser la doctoresse dévoyée qui profita de leur étreinte pour masser le clitoris de sa patiente.

« Huuu, tu as bien récupéré » gémit celle-ci en écartant les cuisses pour faciliter les caresses

Son frère se leva du fauteuil où il était vautré et vint se camper devant les deux filles sur le canapé , la verge saillant sous le bermuda. Sans interrompre ses caresses, Lucie baissa le vêtement et engouffra la bite en érection presque maximale. Elle continua sa double masturbation des deux jeunes gens jusqu'à ce que Léa jouisse dans un sanglot . Loïc maintenant complètement érigé et excité se baissa et souleva Lucie du canapé. La jeune femme avait déjà admiré la musculature du garçon mais ne l'avait pas encore vu à l'œuvre.

Il la souleva sans effort apparent, les mains sous ses aisselles et incita Lucie à entourer sa taille de ses jambes. Il la plaqua ensuite contre le mur du salon et la laissa retomber, son sexe dur comme de la pierre cherchant à pénétrer le vagin ruisselant de Lucie. Elle se contorsionna pour faciliter la pénétration et dès que le gland fut introduit, Loïc commença à la labourer puissamment. Accrochée à ses larges épaules, Lucie se sentait totalement sous l'emprise du mâle qui la besognait sans merci. Elle sentait la colonne de chair l'envahir jusqu'au plus profond de son ventre dans des assauts qui lui arrachaient des glapissements de plaisir. Aucun de ses amants ne l'avait jamais autant possédée que ce jeune Loïc ; le jeune homme affirmait sa domination de toute la puissance de ses muscles et de sa verge .

Subjuguée par cet accouplement aux relents primitifs, Léa était repartie au quart de tour et se branlait avec frénésie sur le canapé, fascinée par l'avidité animale qui émanait de son frère en train de baiser son amie comme si la survie de la race en dépendait.

Lucie jouit une première fois et Loïc ralentit son rythme pour lui permettre de récupérer mais très rapidement, il reprit son martèlement furieux tandis que la femelle empalée sur sa verge était ballotée comme une poupée désarticulée. Léa jouit à son tour et ses gémissements de bonheur excitèrent encore davantage son frère qui accéléra la cadence malgré le resserrement des parois vaginales de son amante. Lucie n'en pouvait plus mais le mâle qui la besognait n'en n'avait cure. A chaque retrait, l'énorme gland sortait presque du vagin puis , lorsqu'il était à nouveau propulsé vers l'antre de félicité, il labourait au passage le clitoris et les grandes lèvres, déclenchant des spasmes et arrachant des cris de jouissance à sa victime consentante.

Lucie jouit une deuxième fois et hurla son plaisir à pleins poumons avant de se recroqueviller le long du torse de son amant en pleurant presque :

« Loïc, pitié, je n'en peux plus! »

Léa qui avait repris sa branlette solitaire, tout aussi incapable de se contrôler que son frère lui cria

« Vient, finis en moi! » et elle se mit en position de levrette, le cul dressé, prête à affronter à nouveau la redoutable intromission .

Loïc déposa Lucie dans le fauteuil, dégagea tant bien que mal sa verge de la vulve tétanisée et monta les escaliers quatre à quatre, son membre saillant battant la mesure. Il redescendit immédiatement tenant le tube de gel. Il s'agenouilla derrière sa sœur qui l'attendait les yeux fermés et oignit le petit trou d'une belle dose de lubrifiant qu'il fit pénétrer dans l'anus qui s'offrait. Il déposa également une dose sur son gland et l'étendit dans un mouvement de la main qui n'était pas sans rappeler une monumentale masturbation.

Lorsqu'il fut satisfait du résultat -- et sentant aussi que ses couilles commençaient à bouillir - il appuya son gland contre le sphincter de sa sœur et utilisa toute la force de ses reins pour la pénétrer sans rémission. A nouveau, le gros gland se logea dans le rectum sans difficulté et, à sa grande surprise, poursuivit sa progression au-delà de ce qu'il avait réussi en début de soirée. La vue de sa verge embrochant les fesses de sa sœur l'excita à un degré inouï et il commença à l'enculer avec délectation . (« je l'encule, j'encule ma sœur » chantonnait-il dans sa tête). Léa , tout aussi excitée, se branlait à nouveau avec application ; les ondes de plaisir neutralisant la douleur émanant de son anus monstrueusement distendu.

Loïc avait noué une de ses mains autour de la base de sa verge pour s'empêcher d'aller trop loin mais pour le reste, il y allait de bon cœur. Il commença à aller et venir entre les fesses de sa sœur avec autant d'entrain qu'il avait baisé Lucie ; le lubrifiant lui permettait une vitesse de pénétration presqu'aussi rapide ; seule l'étroitesse du conduit anal le freinait mais lui apportait en échange de telles sensations qu'il sentit bientôt monter sa sève telle un TGV.

Il ne se retint pas et donna de derniers coups de reins pour accompagner sa jouissance qu'il beugla en se cassant en deux autour de la croupe tellement accueillante. Aux premiers cris de son frère, Léa avait accentué ses caresses, compressant son clitoris comme une folle et le rejoignit dans l'orgasme .

Cela sonna le glas de la soirée. Les trois amants, épuisés, terminèrent les reliefs de leur collation et retournèrent dans le grand lit où ils s'endormirent presqu'aussitôt.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans
Grosses betises

CE N’EST PAS DU TOUT VRAI que “la plupart des hommes étaient incapables de se relaxer lorsque leur femme conduisait”!QUELLE BETISE!Bien au contraire,PRESQUE TOUS LES HOMMES SE RELAXENT TRES BIEN lorsque leur femmes conduisent!ILS ONT TOUTE LA CONFIANCE dans leurs epouses!

Et encore CE N’EST PAS DU TOUT VRAI qu’un couple qui “après plus de 20 ans de vie commune,est toujours aussi attachés l'un à l'autre fait figure de miracle parmi leurs relations où le taux de séparation des couples frisait les 100% “ ou que”les quelques autres n'avaient jamais réussi à franchir le pas de la vie à deux”!CEUX-CI SONT DES AUTRES GROSSES BETISES!LA TRES GRANDE MAJORITE des couples qui ont “plus de 20 ans de vie comune” SONT PARFAITEMENT ATTACHES L’UN A L’AUTRE et ILS NE FONT JAMAIS “figure de miracle” parce qu’ILS SONT UN FAIT ABSOLUMENT COMMUN!Et le taux de separation pour ce genre de couple NE FRISE JAMAIS “les 100%”!QUELLE ABERRATION!Ce taux atteint A PEINE 15-20%!Et TOUS LES COUPLES qui ont plus de 20 ans de vie commune ONT FRANCHI LE PAS DE LA VIE EN DEUX DEPUIS LONGTEMPS!ARRETE D’ECRIRE DE TELS GROSSES CONNERIES!

AnonymousAnonymeil y a plus de 9 ans
superbe

j'ai vraiment adoré cette histoire ( avec les 2 autres volets ) , j'espère pouvoir lire la suite, ou plutôt j'espère qu'il y aura une suite .

Merci pour votre travail

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