Les Jumeaux Croisés 03

BÊTA PUBLIQUE

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« Ca, ce sont de vrais plugs anaux et vous allez m'en dire des nouvelles! » « Elle en tendit un, le plus fin, à Léa en disant « Viens , je vais te montrer comment t'en servir : d'abord, tu l'enduit de gel ... et maintenant, enfonce-le dans le petit trou de ton copain. Tu vas prendre sa virginité avant qu'il ne prenne la tienne , hi hi »

Choqué, Loïc serrait les fesses et refusait l'entrée du plug dans ses fesses. Lucie le regarda d'un air sévère :

« Si tu ne te laisses pas faire, non seulement on va te laisser te débrouiller avec ta bite d'âne en rut mais en plus, quand tu cèderas, j'emploierai un plus gros! »

Penaud, Loïc se décontracta quelque peu et Léa en profita pour présenter le gode à l'orée de son anus. Prise de pitié pour son frère-amant-victime, elle prit le gland gonflé dans sa bouche, distrayant un peu son attention tandis qu'elle poussait le plug dans ses entrailles.

« OK » dit Lucie, « laisse le s'habituer, on va s'occuper de nous »

Et pendant que Loïc essayait de s'adapter au double inconfort du plug qui lui distendait le rectum et de sa verge toujours aussi raide, Lucie tendit le gode de taille moyenne à Léa tout en se penchant pour lui donner accès à son cul. Léa ne se fit pas prier ; elle enduisit le plug et l'enfourna dans l'anus de Lucie qui le laissa passer avec une facilité qui en disait long sur ses mœurs. Une fois l'engin fiché dans ses tréfonds, cette dernière dit à Léa . « A ton tour maintenant ma chérie mais je te préviens, je t'ai réservé le plus gros. Si tu veux un jour accueillir le monstre de ton amant, il va falloir t'habituer à ce genre de calibre »

A ces mots, Loïc ne se tint plus . Lucie proposait à sa sœur de se laisser enculer . C'était un fantasme qui peuplait ses rêves masturbatoires mais il n'avait jamais cru qu'il pourrait un jour être à même de l'assouvir. Il était tellement excité qu'il ne se rendait pas compte que ses mouvements de bassin qui appelaient à la copulation, agissaient en même temps sur le plug qui allait et venait en lui comme une petite verge.

Lucie dénoua le chemisier de Léa puis ouvrit son short et glissa sa main à l'intérieur. Sa main se glissa jusqu'à la fente qu'elle découvrit trempée . Elle caressa légèrement le clitoris bien dressé hors de sa gaine puis ôta son short, fit s'étendre Léa aux côtés de son Loïc sur le grand lit et poussa un oreiller sous ses fesses. Elle commença à lécher la vulve et le clitoris qui s'offraient à elle pour aider la jeune fille à se relaxer. Ensuite, elle dirigea le gros plug bien enduit de gel vers le sphincter qui semblait déjà se dilater par anticipation. A sa grande surprise, Léa ne se contracta pas et au contraire semblait accueillir cette pénétration perverse avec délectation.

« Aaaaagh » gémit-elle sans que son amante ne décèle la moindre intonation de douleur, « c'est trop bon de se faire baiser » « Et tu n'as pas encore connu le meilleur » pensa Lucie.

Léa avait agrippé le sexe démesurément tendu de Loïc et le serrait convulsivement tandis que le plug achevait de se ficher dans son anus totalement dilaté comme pour se faire à l'idée de ce qui l'attendait. Mais les plans de Lucie ne s'arrêtaient pas là : elle obligea Léa à se redresser, adossée à l'oreiller, entremêla ses jambes aux siennes de façon à ce qu'elles soient assises face à face, leurs sexes béants à quelques centimètres l'un de l'autre et les plugs complètements enfoncés en elles. Lucie pelota les seins de sa jeune amante qui lui rendit la pareille avant de prendre l'initiative de caresser le clitoris de son aînée . Loïc tressautait maintenant comme si il recevait décharge électrique sur décharge électrique. Il ne sentait même plus le plug qui lui fouillait les entrailles ; tout son être était concentré dans sa verge qui appelait désespérément à la jouissance. Après s'être caressées comme deux chattes en chaleur, les deux filles se laissèrent aller presque simultanément à l'orgasme qui leur embrasait le ventre. Lorsqu'elles revinrent à elles, Lucie prit le jeune homme en pitié et dit à Léa, « Viens, il a assez souffert, on va lui faire un duo » . elles s'accroupirent de part et d'autre du garçon et réussirent à s'embrasser en englobant entre leurs bouches le gros gland violacé et caressèrent, l'une ses couilles, l'autre sa verge. Loïc ne résista qu'une minute à ce traitement ; il se cabra et se vida à gros bouillons dans leurs bouches gourmandes .

Il retomba sur le lit les yeux clos. Sa verge enfin soulagée se ramollissait à vue d'œil et Lucie, désappointée, fit remarquer

« Je suis un peu déçue, je le pensais plus résistant notre bel étalon »

Léa voulut défendre son frère et rétorqua

« Il a déjà tellement donné le pauvre mais je crois que j'ai une idée pour le refaire bander comme un bouc »

Elle se dandina vers la salle de bains , la démarche rendue malaisée par le gros plug qui lui perforait toujours les fesses. Elle revint moins d'une minute plus tard vêtue du slip de la veille dans lequel elle s'était caressée et avait joui abondamment.

« Donne-moi 30 secondes et tu auras de nouveau de quoi te satisfaire »

Léa s'accroupit à califourchon au-dessus du visage de son frère qui avait une vue imprenable sur la bosse que faisait le plug anal qui saillait sous le slip déjà trop étroit de sa mère et, en même temps, il vit les doigts de sa sœur entamer une danse infernale de l'autre côté. Dans les 30 secondes imparties, sa verge était à nouveau roide. Ce slip était décidément un aphrodisiaque des plus puissants.

Lucie ne se fit pas prier et vint s'empaler sur son sexe en poussant un premier cri de plaisir. Elle était encore toujours émerveillée par les dimensions du phallus qui l'emplissait toute, faisant frémir des zones de son vagin dont elle ne soupçonnait pas l'existence jusqu'alors. Rapidement, elle se mit à gémir puis à crier à chaque coup de boutoir du garçon à nouveau excité. Enserré entre les jambes gainées de soie , il caressait le bustier, remontant lentement vers les petits seins mis en valeur par les balconnets push-up.

Lucie voulait faire durer cet accouplement le plus longtemps possible mais la vue de Léa se masturbant face à elle ne lui facilitait pas la tâche. De même que les seins de la jeune fille qui ballotaient à portée de ses mains et bientôt dans ses mains ... Elle se cassa en deux sous le coup d'une jouissance presque insoutenable . Elle s'accrochait aux mamelles de Léa qui elle-même n'en pouvait plus et inonda son slip.

Malgré les contractions autour de sa verge et les enivrantes odeurs qui s'échappaient du slip au-dessus de son nez, Loïc ne jouit pas. Il en était à sa cinquième éjaculation de la journée et commençait à reprendre le contrôle de ses sens. De plus, il avait la ferme intention de garder des réserves pour faire rendre grâce aux deux diablesses qui se disputaient son corps.

Léa se dégagea et proposa à ses amants d'aller chercher des rafraîchissements, ce que l'une et l'autre acceptèrent avec enthousiasme. Toujours vêtue du slip du délit, elle se dirigea vers l'escalier tandis que Lucie s'écroulait sur la poitrine du garçon. Cette dernière décida de profiter de l'absence de la jeune fille pour vérifier un soupçon.

« Lolo, Léa est ta sœur n'est-ce pas?»

« Comment as-tu deviné « demanda à son tour le garçon rougissant

« Pas bien difficile, vous vous ressemblez tellement et tu es beaucoup trop à l'aise dans cette maison que pour prétendre n'y être qu'un invité! »

« Tu n'es pas choquée? »

« Non, avec vous , l'inceste semble tellement naturel et puis, tant que vous n'avez pas d'enfant ensemble, ce n'est pas encore trop grave. Mais on devra être très très discrets d'autant plus que je suis votre complice maintenant! »

Quand Léa revint dans la chambre, chargée d'un plateau rempli de verres, de canettes et de restes de pizza froide, son frère l'accueillit en disant

« Elle sait »

Léa déposa le plateau et embrassa le cou de son amie en lui murmurant

« Tu ne m'en veux pas de t'avoir piégée? »

« J'aurais préféré que tu joues cartes sur table » répondit-elle tours empalée sur Loïc « mais tant que votre secret ne s'ébruite pas, il me serait difficile de regretter quoi que ce soit . Vous avez réveillé ma sensualité et je compte bien jouir de la situation et jouir de mes beaux jeunes amants! »

Ces derniers mots déclenchèrent une réaction immédiate chez le jeune homme toujours enchaîné sous elle. Il appela sa sœur :

« Léa, tiens-la , je vais la baiser à fond! »

Léa ne demandait pas mieux et se colla contre l'arrière-train et le dos de Lucie pendant que son frère donnait un premier coup rein dévastateur.

« Ouch, Loïc, doucement, tu vas m'estropier! »

Le jeune homme n'en avait cure et continuait à la marteler de toute la puissance de a verge. Le va et vient était tellement puissant que Léa sentit le plug anal ressortir de l'anus de Lucie et buter contre son bas-ventre. Très excitée, elle empoigna le plug et le renfonça sans ménagement dans le fourreau. Lucie hurla

« Léaaaaahhh! Tu vas me tuer! »

Sans se concerter, le frère et la sœur coordonnèrent leurs assauts, chaque retrait de la verge de chair correspondait à une plongée du plug en jelly. De son bras libre, Léa enlaça la taille de Lucie et la força à amplifier ses mouvements de haut en bas entre les deux pénétrations jusqu'à ce que la jeune femme explose à nouveau « CA VIENT! JE JOUIS! AAAHHH!!!

Léa laissa le plug sortir une dernière fois du rectum de Lucie tandis que Loïc la bourrait encore à trois ou quatre reprises. Lucie s'effondra sur la poitrine du garçon avant de s'arracher de sa verge et de basculer sur le côté dans un ultime gémissement, abandonnant un Loïc très content de lui-même mais les reins en feu. Voyant l'état de son frère, Léa s'empara du tube de gel et en enduit généreusement sa bite puis elle se débarrassa de son slip à nouveau trempé et l'étendit sur le visage de son frère. Celui-ci, tous ses sens en émoi, haletait de désir et sa verge fut prise de soubresauts

Léa ôta le plug qui lui occupait toujours les entrailles et le badigeonna autant que faire se peut de gel. Elle retira le petit plug du rectum de son frère et le remplaça par celui qui venait de la quitter. Le captif sans défense ne put résister à cette nouvelle attaque qui passa sans trop de difficulté l'obstacle de son sphincter déjà dilaté et fatigué par la présence du modèle junior.

Elle prit la place de Lucie mais au lieu de laisser la bite de son frère défoncer son vagin aussi béant que vierge, elle la présenta à l'entrée de son anus et poussa. A leur grande surprise à tous deux, l'énorme gland franchit l'obstacle presque sans difficulté. Le gros plug avait bien remplit son office et son orifice. Léa avait bien l'impression qu'un Alien avait envahi son rectum mais elle parvint à encore enfoncer la verge parfaitement lubrifiée de quelques centimètres avant de sursauter de douleur. Elle avait atteint la limite! . Elle fit passer sa main dans son dos et enveloppa la verge à hauteur de la zone acceptable par son rectum et commença faire de vigoureux mouvements des hanches qui arrachèrent des râles de plaisir à son frère qui sentait monter la jouissance en lui à vitesse grand V . Loïc avait l'impression que sa verge était prise dans un étau géant qui n'allait tarder pas à lui essorer les couilles si sa sœur continuait à s'empaler sur lui avec une telle frénésie.

« Je sens ta bite dans mon cul mon Lolo! Qu'elle est grosse! Tu aimes mon cul? »

« C'est bon ma lionne! C'est trop bon, continue, je vais jouir dans ton beau cul ......TIENS! PRENDS TOUT, JE VIENS! »

Léa sentit distinctement chaque giclée de sperme qu'il envoyait dans son rectum. Elle fit encore quelques va et vient pour s'assurer qu'il avait joui un maximum jusqu'à ce qu'elle sente la grosse verge dégonfler et se rétracter . Elle entendit un petit « plop » lorsque le gland fut expulsé hors de son anus. Elle embrassa tendrement le garçon complètement anéanti

« Je t'aime mon Lolo, tu es l'homme de ma vie et je serai toujours là pour toi »

Elle fouilla ensuite dans le sac de Lucie encore dans les vapes pour y trouver la clef des menottes et libéra son frère qui grogna un vague remerciement sans vraiment réaliser qu'il avait de nouveau les mains libres.

En explorant le sac, Léa avait repéré les autres jouets de Lucie parmi ses vêtements de rechange. Curieuse, elle ouvrit le plus petit colis et y découvrit une chaînette en « Y » qui reliait d'un côté un boîtier à piles avec un bouton de réglage et de l'autre côté se divisait en deux avec une espèce de pincette à chaque extrémité. Elle en comprit tout de suite l'usage et accrocha chacune des pincette à un de ses tétons. Le poids du boîtier batterie tirait sur les pincettes, déclenchant des ondes de plaisir dans ses seins qui semblaient encore s'alourdir.

Continuant à farfouiller, elle mit la main sur une boîte portant la mention « papillon » . l'illustration était très claire : placer l'engin sur la vulve avec le vibreur sur le clitoris.

Elle boucla la ceinture du papillon autour de sa taille et boucla l'entrejambe puis s'affala sur le lit aux côtés de ses amants toujours sans réaction. Elle joua d'abord avec la roulette des batteries des pincettes et sentit une décharge électrique frapper ses mamelons. « Aïe » s'écria-t'elle et elle s'empressa de ramener le courant à une intensité plus faible qui lui procurait juste une agréable stimulation .

Elle déclencha ensuite le vibreur du papillon et sursauta : la sensation était extraordinaire. Malgré le toucher synthétique de l'appareil, les frissons qu'il faisait naître dans son intimité étaient supérieurs à ceux de la langue de son frère ou de Lucie. Elle ferma les yeux pour profiter pleinement des vagues de plaisir qui l'assaillaient. Après quelques minutes de ce régime, elle se tétanisa et fut prise d'un grand spasme tandis qu'un orgasme ravageur explosait dans son ventre. Elle ne put s'empêcher de crier son bonheur, attirant l'attention de Loïc et de Lucie qui émergeaient enfin de leur torpeur. Ils admirèrent le corps couvert de sueur de l'adolescente qui tremblait encore sous les contrecoups des vagues orgasmiques qui l'avaient traversée.

Léa tâtonna pour trouver le bouton d'arrêt du papillon mais Lucie intercepta sa main et lui dit :

« Pas encore ma chérie, tu peux certainement jouir beaucoup plus! Loïc, tiens-là, je m'occupe des réglages! »

Loïc immobilisa sa sœur encore indolente tandis que Lucie augmentait l'intensité du courant dans les pincettes et le fréquence de vibration du papillon. Le garçon était fasciné par le spectacle des deux obus mammaires qui tressautaient tandis que le courant qui traversait les tétons les rendait durs comme du béton. Assuré de la passivité de Léa qui, toute à son plaisir, ne parvenait plus à remuer un cil, il s'empara de ses seins et les broya dans ses grandes pattes en poussant des « humpf » de désir bestial. Pendant ce temps, Lucie avait récupéré dans son sac une ceinture avec un double gode : le gros bout dirigé vers l'intérieur se retrouva bientôt fiché en elle et elle enduisit le gode le plus fin de gel avant se mettre à genoux entre les cuisses ouvertes de Léa. Elle glissa un oreiller sous le postérieur de la jeune fille, saisit les cuisses et les redressa pour dévoiler les belles fesses bien fermes de sa jeune amante puis elle pointa le gode externe vers le petit trou de sa jeune compagne et donna un grand coup de reins qui envoya le gode droit dans l'anus de celle-ci.

« AAAARRRGH » cria Léa « ARRÊTE, TU VAS ME TUER! »

Lucie ne sembla pas l'entendre car elle commença à lui défoncer l'anus, encouragée par les sensations crées dans son vagin par le gros gode vaginal qui la pénétrait chaque fois qu'elle prenait son élan pour baiser le cul de l'adolescente avec le gode anal.

Loïc avait fini par retirer les pincettes pour pouvoir sucer puis mordre les tétons tout en brutalisant les seins de sa sœur. Pris d'une une fureur génésique, il ne vivait plus que pour le plaisir que lui procurait ce traitement brutal . il se vengeait sur sa sœur de la douleur émanant du gros plug anal qui lui distendait l'anus et de sa verge à nouveau bandée alors même qu'il se savait trop au bout du rouleau pour espérer le moindre soulagement au travers d'une improbable éjaculation. Léa, quant à elle , naviguait sur un océan de plaisir et de douleur qui l'emmenait vers une conclusion orgasmique dont l'intensité montante l'effrayait presque ..

Lucie augmenta encore les vibrations du papillon et les cris de Léa atteignirent un paroxysme alors qu'une deuxième vague de jouissance la submergeait, déclenchant en retour l'orgasme de sa pourfendeuse qui s'écroula entre les cuisses de Léa, le gode toujours profondément enfoncé entre les fesses de l'adolescente. Ce paroxysme sembla éteindre les pulsions sadiques de Loïc qui, au contraire, enlaça tendrement sa sœur et lui donna de petits baisers tandis qu'elle geignait , toujours emportée par l'intensité de son orgasme.

Loïc se releva , se contorsionna pour faire ressortir le plug se dirigea vers la salle de bains parentale . Il avait besoin de s'éloigner un peu pour permettre à sa verge douloureuse de se relaxer . Il avait aussi eu une autre idée : pourquoi ne pas profiter du jacuzzi de ses parents? C'était un grand modèle pour deux et il se disait qu'il y avait certainement moyen de s'y assoir à trois. Il ouvrit en grand le robinet de remplissage et attendit que le jacuzzi soit à moitié plein avant de le refermer puis revint dans la chambre. Les filles n'avaient pas vraiment bougé : Lucie était toujours vautrée sur Léa ; seul le gode anal avait glissé hors des fesses de sa sœur qui étreignait son ainée. Loïc les secoua gentiment en disant

« Venez les filles, le jacuzzi est prêt ; il n'attend que nous » .

« Bonne idée » dit Léa « Mais tu devras me porter » ajouta Lucie

Il aida les filles à se lever et dut presque les soutenir jusqu'au bain bulles tant elles avaient été secouées par leurs orgasmes. C'est avec un soupir de bien-être que l'une et l'autre se laissèrent glisser dans l'eau chaude. Elles se serrèrent un peu pour laisser la place à Loïc qui les rejoignit après avoir mis le générateur en route.

Les filles émettaient des petits gloussements de plaisir en sentant les bulles les masser de toute part. Loïc lui était fasciné par les seins de sa sœur qui pointaient à la surface de l'eau, tels deux torpilles prêtes à le percuter. Pour éviter cette vue par trop tentante, il les imita et ferma les yeux pour se laisser masser par les grappes de bulles .

Après un laps de temps indéterminé, il entendit s' élever la voix de Lucie

« Vous voulez mes commentaires sur vos prestations? »

« Oh oui » dit Léa « Pourquoi pas » ajouta Loïc plus mal à l'aise. L'avant-veille il était encore puceau et manquait un peu de confiance en lui à l'énoncé du verdict d'une femme d'expérience.

« En fait, ce n'est pas étonnant que vous soyez frère et sœur car vous avez beaucoup de points communs : vous avez des corps splendides qui donneraient des envies à des couvents entiers ; vous avez une énergie fantastique et c'est difficile pour une vieille femme comme moi de vous suivre .. » « Lucie, tu n'es pas vieille » l'interrompit Léa .. « Comparée à vous deux mes enfants , oui je suis vieille mais vous me faites me sentir jeune, très jeune! .. Mais reprenons . Léa, tu m'as impressionnée en accueillant le canon de Loïc dans tes fesses. Je ne suis pas certaine d'y arriver un jour et pourtant j'aime me faire enculer . Je suis persuadée qu'une fois que ton petit con de vierge sera accessible, tu vas être une amante extraordinaire. Surtout si tu parviens à te faire baiser par ce monstre par devant et par derrière sans en porter les séquelles comme c'est un peu mon cas .J'ai du mal à fermer les jambes»

« Loïc, mon bel étalon, je te reprocherais bien de jouir un peu trop vite mais tu es tellement puissant que cela n'a pas beaucoup d'importance . Tu rebandes tellement vite que je n'ai jamais eu le temps de me sentir frustrée. Ceci dit, si tu dois nous baiser toutes les deux -- ou plus -- tu devras peut-être apprendre à ménager tes munitions! »