Nos Solitudes

BÊTA PUBLIQUE

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« Non, non, non. J'ai promis à ce bon docteur que tu ferais le moins d'effort possible. »

Elle se penche vers moi et après une série de tendres baisers, elle glisse sa langue dans ma bouche pour m'embrasser avec fougue. En même temps, elle fait disparaître une main sous le drap qui me couvre pour me caresser le torse, puis le ventre avant de poursuivre sa course plus bas.

« Tu m'as palpé, maintenant c'est à moi de le faire. »

Ma queue bondit à ces mots. Sa bouche se met à couvrir le haut de mon corps d'innombrables baisers.

« Hummm, je me demande si tu apprécies vraiment ce que je te fais. » me taquine-t-elle tout en faisant descendre sa bouche.

Mon sexe dressé forme un dôme avec le drap. Cette fille me rend dingue! Elle sourit devant mon érection clairement visible.

« En fait, je commence à croire que si... »

Je ne dis rien de peur de rompre le charme. D'un geste magistral, elle écarte le drap et dévoile mon sexe. Je bande autant qu'il m'est possible de le faire, excité autant par ses mots que par ses baisers aventureux. Elle s'incline au dessus du lit, et doucement elle fait passer ses seins sur mes cotes, mon ventre avant de venir déposer un baiser sur mon gland. Mon sexe sursaute involontairement et cela l'amuse. Elle renouvelle ses baisers pour le faire bondir à chaque fois.

Elle place un genou sur le bord du lit pour prendre appuis et commence à me sucer le nœud. Je frémis de ces douces sensations. Elle prend mon sexe bien en main pour le stabiliser puis elle le fait disparaître dans sa bouche. Ses caresses buccales deviennent plus fermes, plus chaudes et plus humides. Je gémis sans jamais perdre des yeux ce spectacle on ne peut plus érotique.

Elle me regarde dans les yeux et sourit. Elle reporte son attention vers ma queue et enfourne l'extrémité entre ses lèvres. Je perçois le contact de sa langue que me caresse amoureusement. Je tente prudemment de faire bouger mes hanches de peur que la douleur me terrasse, mais fort heureusement l'anesthésie a fait son effet. Merci docteur!

Capucine cesse de me pomper et retire mon engin de sa bouche. Je suis déçu. Mais quand elle grimpe sur le lit et trouve sa place entre mes jambes, je suis rassuré.

« Je veux te voir gicler! »

Rien de tel pour me stimuler. Elle replace ses lèvres sur mon sexe et elle me suce tout en me regardant dans les yeux. Je gémis en essayant de me retenir le plus longtemps possible. Sa langue s'active maintenant sur la base de ma queue puis sur mes testicules, ce qui me rend fou de plaisir. C'est si bon.

Elle éloigne sa bouche pour me dire que mon sexe a bon goût. Elle me sourit et donne un nouveau coup de langue.

« Tu crois que je peux la mettre en entier dans ma bouche? »

Je tends mon bassin vers elle lorsqu'elle se place bien au dessus de ma queue et la fait coulisser dans sa bouche. Ses lèvres descendent jusqu'à la moitié de mon sexe. C'est si bon, si chaud, si merveilleux. Elle ne décroche pas son regard du mien. Elle fait marche arrière avant de repartir à l'assaut. Cette fois elle avale les trois quart de mon sexe avec une sensualité indécente.

« Oh putain! »

Je gémis en sentant mon orgasme proche. Sans plus attendre, elle avale la totalité de ma queue. Je sens le fond de sa gorge au bout de mon gland. Tout en elle m'excite et me porte au nirvana. Je lui signale que je vais éjaculer mais elle ne bouge pas, attendant avec gourmandise le premier de sperme que gicle directement dans sa gorge. Elle se redresse un peu pour mieux recevoir mon foutre dans sa bouche. Elle ne cesse de me regarder pendant que mon sperme jaillit dans sa bouche. Elle l'avale tout au fur et à mesure. Je voudrais me pencher vers elle pour l'attirer contre moi mais j'en suis incapable. Elle est et elle sera toujours mon ange. Je ne mérite pas d'avoir une fille comme elle dans ma vie.

Mon sexe finit par décroître. Pourtant elle ne cesse de le cajoler et de lui faire l'amour avec sa bouche, avec un peu plus de tendresse cette fois. Quand elle se décide à stopper ses douceurs, elle m'offre son plus beau sourire. Elle embrasse plusieurs fois mon gland avant de remonter vers moi, pour s'allonger à mes côtés en prenant soin de ne pas choisir le flanc blessé. Je lui prends la tête entre les mains et je l'embrasse amoureusement. Je retrouve le goût de ma semence entre ses lèvres, mais le plaisir du baiser est plus fort que mes blocages moraux.

« C'était vraiment incroyable... » lui dis-je en plongeant mes yeux dans les siens.

« «Je n'avais jamais été aussi loin. Et c'est vraiment génial. »

Elle est heureuse. Elle aime vraiment le sexe, ce qui rend nos rapports encore plus intenses. Et dire que je vais sûrement perdre tout cela.

« Le médecin m'a dit qu'il était trop tôt pour avoir de vrais rapports. Alors je me suis dit que c'était ce que je pouvais t'offrir de mieux. »

« Tu veux dire que tu as parlé de ça avec le Dr Demesse? »

« Ouais, et il m'a confirmé que le sexe oral n'était pas contre-indiqué et qu'éjaculer ne serait pas trop douloureux »

« Il m'a donc fait une ordonnance pour une fellation?! J'adore ce médecin. »

« Il m'a aussi dit que tu ne serais pas prêt pour du vrai sexe avant une semaine ou deux. Il fallait vraiment que je trouve un compromis. »

Capucine est clairement fière d'elle même, et je suis admiratif de ses efforts.

« Tu vas me manquer Capucine. »

J'ai trop besoin de lui dire. Je veux qu'elle sache à quel point je chéris tous les instants que nous passons ensemble.

« Tu vas me manquer aussi. Bien plus que tu ne pourras jamais l'imaginer. » m'avoue-t-elle tout en se serrant contre moi.

« Tu dois savoir que si tu as besoin de quoi que ce soit... tu pourras m'appeler quand tu voudras. »

« Hé, tu sais je ne pars pas sur une autre planète! Nous allons continuer à nous voir. Mais puisque tu seras avec Julie, nous ferons évoluer notre relation d'une autre façon. »

Après un long moment de silence où nous imaginons vraisemblablement tous les deux quelle tournure peut prendre notre relation. Avec Capucine, tout me semble possible.

« Putain qu'est ce que je t'aime! »

Je m'écrie avec tout mon cœur.

« Moi aussi, mon vieux lion. »

Elle me souris pendant que nous échangeons un dernier câlin.

C'est elle qui me raccompagne à la maison ce vendredi comme convenu. Je découvre une maison propre et repeinte. En fait, elle est vraiment douée avec un pinceau. Je lui propose de lui régler ce que je lui dois comme nous avions convenu. Cela l'aiderait à débuter sa nouvelle vie. Mais elle refuse, m'expliquant que je l'avais payé bien plus que nécessaire. Elle dépose un dernier baiser sur ma joue et part rejoindre son nouveau « chez-elle ». Cette fille va me manquer. Une nouvelle fois je me retrouve seul dans cette grande maison. Une fois de trop sans doute car toutes les larmes de mon corps, si longtemps retenues, jaillissent en un flot ininterrompu.

Dans la soirée, la sonnette retentit. Je suis encore abattu et j'ai mal à ma plaie. Je quitte mon canapé avec maintes gémissements. Je me traîne jusqu'à la porte et tente de me donner un air aimable en l'ouvrant. Debout devant ma porte, vêtue d'un jean et d'un tshirt, Julie me regarde avec une pointe d'anxiété dans les yeux et les mains noués dans son dos. Je ne me pose même pas la question de savoir comment elle a fait pour avoir mon adresse. Cela me semble si évident.

« Oh mer... » dis-je plus fort que je ne l'aurai voulu. « Julie... Excusez moi. Je suis désolé de ne pas être revenu au restaurant. Mais vous n'allez sûrement pas me croire, mais je sors juste de l'hôpital. Une histoire compliquée. »

Mais devant son sourire, je comprends qu'elle n'est pas fâchée après moi.

« Je vois, vous êtes déjà au courant. »

« Capucine est passée hier soir pour m'avertir. Elle m'a tout expliqué. »

Intérieurement, je remercie mon amie mais je prie aussi pour qu'elle n'ait pas tout raconté non plus. Julie me regarde avec ironie.

« Euh, tu ne me fais entrer? »

Mais oui, où sont passées mes bonnes manières.

« Bien sur. » dis- je en souriant. « Vas-y entre, je suis heureux que vous... tu sois venue. »

Je m'écarte pour la laisser passer. Elle tient dans la main un grand sac.

« J'ai apporté de quoi manger au cas où tu aurais faim. Je me suis dit que des brochettes... »

« Je suis VRAIMENT ravi que tu sois venue. »

J'exagère le compliment à dessein. En la laissant avancer devant moi, je constate que son jean met en valeur ses courbes, bien mieux que sa tenue de serveuse. Elle est vraiment ravissante. Je sors quelques assiettes pour que Julie y dépose la nourriture qu'elle a amené. Je profite du repas pour en apprendre un peu plus sur elle. Je découvre qu'elle a déjà été marié mais que cela n'a pas fonctionné. Cela fait longtemps qu'elle n'a pas eu de rendez-vous avec un homme, et elle n'a pas d'enfant. Son père est mort depuis quelques années alors que ça mère vit en région parisienne. J'en apprends plus sur elle en moins d'une heure que sur la plupart de mes collaborateurs après plusieurs années de cohabitation. Savoir écouter les gens n'est pas si mal en fait. Nous mettons la vaisselle au lave vaisselle puis nous rejoignons le canapé.

« Tu es amoureux de Capucine? »

La question de Julie me prend de court. Je sais que mentir établirait des bases malsaines pour une nouvelle relation.

« Oui. »

Je pense qu'une réponse courte est plus facile à digérer qu'une réponse alambiquée qui voudrait dire la même chose.

« Elle m'a expliqué tout ce que avait fait pour elle. Je sais qu'elle t'aime très fort elle aussi » m'explique-t-elle avant de marquer une pause. « Je me fais trop vieille pour tourner autour du pot pendant des semaines, alors je vais être directe : est ce que tu as envie de construire une relation amoureuse avec elle? »

Elle scrute mon regard comme si elle pouvait y trouver des réponses.

« Si cela n'avait tenu qu'à moi, je t'aurais dit oui. Mais je ne suis pas seul, et je doute qu'elle ait envie de construire quelque chose entre nous. Je dois respecter ça. »

Julie se redresse sur le canapé et place ses mains derrière ma tête pour m'attirer contre elle avant de me donner un baiser passionné. C'est si doux et cela est porteur de promesses. Je lui rend ce baiser avec autant d'ardeur.

« Lorsque Capucine m'a expliqué votre relation, j'ai douté de ce que je devais faire. Il est tellement évident que vous tenez l'un à l'autre avec beaucoup de force. Je ne veux pas me lancer dans une relation qui ferait rejaillir ma jalousie parce que tu tiens à elle. Je ne veux pas être un substitut. »

Quelque chose en moi me dit alors que Capucine ne lui a peut être pas tout dit. Surtout sur ses propres sentiments.

« Tu es un homme bon. Et j'ai envie de nous donner une chance. »

« Je suis sur que l'on y arrivera, Julie. »

Je lui caresse les cheveux et j'admire le vert tendre de ses yeux. Julie me souris et m'embrasse encore. Je suis certain que Capucine a joué de son charme magique pour faire en sorte que Julie soit là. Elle a vraiment envie de ne pas me laisser seul. Que cette fille. J'espère aimer Julie autant un jour.

« Je sais aussi que tu dois rester sage pendant une semaine. Mais je sais que ton médecin t'a prescrit un remède pour te faire patienter... »

En fait, je pense que ma douce Capucine est allée quand même assez loin dans ses confidences...

Post scriptum

Les semaines ont passé. Malgré nos efforts, Julie n'a jamais réussi à remplacer Capucine. Pourtant elle s'est montrée une femme douce, désirable et affectueuse. Mais il ne lui a manqué qu'une chose : être Capucine. Alors notre relation n'a pas vraiment décollé. Bien pire, lorsque Julie et moi faisions l'amour, je n'avais qu'une seule femme en tête. J'en étais venu à éviter ce genre de plaisir car je trouvais cela irrespectueux. C'est tout naturellement que nous avons décidé de mettre fin à cette tentative. Je m'en suis voulu car en temps normal, Julie aurait été tout ce que je cherchais.

Avec Capucine, nous sommes restés en contact. Elle s'est jeté à corps perdu dans son apprentissage de la lecture et dans son travail. Elle m'a avoué que pendant un temps elle et le Dr Legendre avait prolongé leurs séances de manières plus intimes. Mais cela n'avait pas duré. Toutes les deux en avaient eu envie et l'avait fait avant de passer à autre chose.

Je ne lui ai jamais expliqué les raisons de ma rupture avec Julie. Elle ne parlait plus de ses sentiments pour moi, alors je ne voulais pas l'embarrasser avec mes états d'âmes.

Et puis un soir, alors que je rentre tranquillement du travail, je reçois un appel de mon amie. Je sens une tension dans sa voix qui avait disparu depuis longtemps. Sans hésiter, je la rejoins chez elle. Je la trouve les yeux rouges, le maquillage souillé. J'ai peur qu'il lui soit arrivé quelque chose de grave. Tout d'abord, j'essaye de la faire parler mais elle se mure dans le silence dès que je cherche à connaître les raisons de ses larmes.

Puis, à force d'insister, elle m'apprend qu'elle et Julie se sont vues. Qu'elles ont discuté des raisons de notre rupture.

« Ce n'est pas de ta faute, pourquoi tu te mets dans des états comme ça? »

« Mais si c'est de ma faute! Si je n'étais pas entrée dans ta vie, tu serais heureux avec une femme qui t'aime. Au lieu de ça, ton amour pour moi... »

« Arrête, sans toi je ne me serai même pas rendu compte que cette femme s'intéressait à moi. Sans toi, je serai resté l'homme solitaire que j'étais. Je n'aurais pas recommencé à vivre. Alors prends ta présence dans ma vie comme une bénédiction. Rien d'autre. »

« Mais moi je veux que tu sois heureux. Et tant que je serai dans ta vie, je te porterai malheur. Jamais je n'aurais du tomber amoureuse de toi. Je te porte malheur. »

« C'est n'importe quoi et tu le sais! Tu es la chance de ma vie. »

« Je n'arrive pas à ne plus être amoureuse de toi... »

« Pourquoi vouloir ne plus l'être? Est ce si honteux de m'aimer? »

« Mais bien sur que non... C'est juste que je ne veux pas... »

Je l'interrompt en déposant un baiser sur ses lèvres. Le premier depuis des mois. Après avoir résisté, mon amie se laisse aller avant de me rendre ce baiser avec plus de fougue... Nos mains se trouvent, nos corps se rapprochent et nos vêtements volent.

Est ce le début d'une longue histoire ou une nouvelle parenthèse? Je l'ignore. Je suis juste certain que nos solitudes appartiennent véritablement au passé.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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8 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Excellente histoire

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Très belle histoire - j'ai beaucoup aimé - merci !

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Très très bien écrit, j'ai adoré.

Rudy

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

J’ai bien aimé cette érotisme sain, une écriture sympa, une belle histoire. Une suite avec une fin sans ???aurait été souhaitable à mon avis mais bon 19/20 c’est déjà presque plus que parfait

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